D&D 5e M2J
Univers de la campagne : Médiéval Fantastique
Système de jeu : Dungeons & Dragons 5e
MJ : Meneur2Jeu
Nombre de joueurs : 5
Rythme :
Exigence :
Bienvenue sur cette page - un peu bordélique je le conçois et je m'en excuse. Bonne lecture.
Inscriptions ouvertes. Par contre le jeu ne va pas commencer avant un petit temps, vu que je souhaite construire un setting commun avec les joueurs.
La Thématique.
Je suis attaché au souffle épique que peut apporter un univers médiéval fantastique. J’apprécie particulièrement les thématiques d’explorations, les intrigues politiques, les conflits entre factions/ /nations/cultes, les mystères anciens et occultes et j’aime beaucoup entremêler des sentiments humains au milieu de tout cela. Le dungeon crawling n’est pas totalement exclu mais reste minoritaire.
Le manichéisme existe en trame de fond dans mes campagnes – il existe un Bien universel et un Mal universel, ce qui donne son sens à l’alignement, mais tout est rarement totalement tranché. J’aime beaucoup confronter mes PJs à des dilemmes moraux.
Je ne m’interdis pas d’aborder des sujets 18+ mais ils ne seront pas centraux. L’univers comporte son lot d’obscurantisme, de violence, d’intolérance, de discrimination en fonction des cultures, des peuplades des traditions et des régions. Les PJs pourront être confrontés à du racisme, du sexisme ou à toute autre forme « d’isme ». L’hétérosexualité est la plus commune des orientations mais l’homosexualité et la bisexualité sont loin d’être rare pour autant. Comme dans notre monde, les orientations seront tantôt totalement acceptées voire banalisées, tantôt rejetées en fonction des sociétés et des cultures. L’univers sera par contre exclusivement cisgenre – n’y voyez pas de l’intolérance de ma part (en tout cas je ne crois pas), c’est juste que je ne suis vraiment pas à l’aise avec la thématique transgenre. Je n’ai pas envie de débattre de ces sujets, je ne suis pas là pour cela, donc si ces points ne vous conviennent pas, je vous demande simplement de passer votre chemin : je suis désolé mais cette campagne n’est simplement pas faite pour vous.
La campagne ne sera pas non plus en écriture inclusive, par contre je mets un point d’honneur à traiter d’égalité les joueurs et joueuses – même si le monde, lui, ne sera pas toujours égalitaire – loin de là (pour être transparent, j’ai en fait plutôt tendance à être plus conciliant/généreux/laxiste avec les joueuses de peur de faire preuve d’inégalité… Mais je me soigne). S’il m’arriverait de déroger à cette règle, ce serait inconsciemment. Je suis disposé à en discuter HRP et reste ouvert à tout débat sur cette question. Aussi, par défaut dès que je parle de joueur, ça s’applique évidemment tout aussi bien aux joueuses. Ce n’est qu’une simple convention dans mon esprit.
Les Inspirations : Evidemment le Seigneur des Anneaux, Game Of Thrones, Golarion et les Royaumes Oubliés, mais aussi l’Assassin Royal, le Vieux Monde de Warhammer, la 5ème saison de Role’N’Play et la Légende Arthurienne.
Je ne suis pas du tout branché Japanime/Manga, donc ne vous attendez en aucun cas à ce style (oui, même l’Attaque des Titans. Surtout l’Attaque des Titans ! De cette œuvre grotesque dans laquelle l’armée n’a rien trouvé de mieux que de jouer à tarzan armés de cutters géants pour faire face à des grands types souriants à poil – dites non à la drogue – je ne garde que la BO ; et encore, depuis qu’Epica l’a reprise ) qui me donne des crises d’urticaire galopant… Les Chocobos, je les embroche et les fait cuire vivants façon Jeanne d’Arc au barbecue, et j’attrape les Pokémons au knout (le chat à neuf queue métallique barbelé qu’utilise la succube dans les Chroniques de la Lune Noire). Leur peau colorée se déchire si facilement avec ce joujou que j’en tire une profonde satisfaction personnelle, jusqu’à les faire taire définitivement après m’être délecté de leur douloureuse agonie #Pikagonie et de leur dernières convulsions. Ça, par contre, c’est de l’intolérance que j’assume complètement.
La part de fantastique : Modérée. La magie, les créatures surnaturelles et l’influence du divin sont réelles. Le surnaturel reste cependant mystérieux et peu courant, sans être totalement rarissime.
Les PJs seront au cœur de l’intrigue. C’est aussi pourquoi que je me laisse une marge pour le moment sur la construction scénaristique.
L’Univers.
Nous partons sur un royaume féodal côtier avec un grand front océanique et une barrière naturelle montagneuse en guise de frontière occidentale.
Ce monde n’est pour le moment qu’une esquisse et tout est à construire. Je souhaite que nous le construisions ensemble. Que cela devienne votre monde autant que le mien. Je souhaite donc aux joueurs volontaires qu’ils participent au processus de création ; cela ne fera que les encourager à construire une histoire pour leur personnage qui fait écho à des éléments tangibles qu’ils auront placés eux-mêmes dans ce monde. Comment ? Tout simplement en imaginant des morceaux de cet univers et en couchant cette création sur le papier.
Pourquoi ne pas reprendre un univers existant ?
Je tomberai toujours sur un joueur fanatique qui est l’Encyclopedia Universalis d’un univers existant et même si j’en ai généralement une bonne connaissance, je ne suis pas non plus super à l’aise. Je pourrai très bien me l’approprier en virant ce qui me dérange et en ajoutant ce qui m’arrange, mais ce n’est jamais aussi confortable qu’une feuille vierge.
Ça va pas être un boulot monstre de définir un univers entier pour jouer ?
L’erreur est toujours de se perdre dans des détails. On n’a pas besoin de grand-chose au départ pour commencer à jouer. L’idée est de coucher sur le papier ce dont on a besoin seulement, puis de dévoiler le brouillard de guerre au fur et à mesure. J’ai de toutes façons l’intention de réutiliser pas mal d’éléments piochés à droite à gauche.
Les Règles.
Je vous propose d’utiliser les règles de la 5ème édition du plus connu des jeux de rôles : Donjons & Dragons. Les règles sont disponibles sur aidedd.org
Pourquoi D&D ?
Pour la simplicité, l’universalité, la dimension tactique et la marge de progression qu’apporte ce système. Parce que ce personnage que nous allons créer ensemble, peut-être pourrez-vous le réutiliser par ailleurs.
Pourquoi pas Héros & Dragons ?
C’est cruel mais uniquement parce que H&D n’est pas compatible avec dndbeyond, à moins de se palucher toutes les spécificités en Homebrew et je n’en ai vraiment pas le courage.
Création de personnage.
Nous partons sur des personnages de niv 1 avec trois options possibles de création :
- Personnage intégralement prégénéré. Je peux vous proposer de créer moi-même votre personnage de A à Z
- Processus de création commun. Je peux m’occuper de la partie technique, ou le créer en fonction d’une discussion en face à face avec vous. Nous itérons ensemble jusqu’à ce que le personnage vous convienne.
- Vous créez vous-même votre personnage. Je vous communique les quelques contraintes que je souhaite appliquer, les suppléments que j’utilise et vous faites le job de A à Z (réservé aux joueurs expérimentés qui connaissent bien D&D)
Du coup, ce qui suit est plutôt pour les joueurs connaissant D&D5 :
Les peuplades autorisées :
- Fréquentes : Humain (normal ou variante)
- Communes : Demi-Elfe, Halfelins Vaillants, Halfelins Pieds-Légers, Nain des Collines
- Inhabituelles : Elfe des Bois, Nain des Montagnes, Gnomes des Roches, Gnomes des Forêts, Demi-Orque
- Rares : Tieffelins, Aasimars, Hauts Elfes
- Interdites : Toutes les autres.
Evidemment la fréquence pourra elle aussi varier en fonction des régions et des cultures.
Les classes autorisées :
- Tiers 1 : Barbare, Paladin, Magicien, Rôdeur, Roublard, Clerc, Druide, Artificier
- Tiers 2 : Guerrier, Moine, Sorcier, Barde
- Tiers 3 : Ensorceleur
- Exclues : Toutes les autres.
La répartition indique juste mes préférences sur les classes de personnage. Je n’interdis pas pour autant l’Ensorceleur mais comme je n’ai aucune affinité avec cette classe et que c’est celle que j’apprécie le moins, je la déconseille fortement aux joueurs qui ne connaissent pas D&D.
A la base, je n’ai rien contre le concept d’Ensorceleur ; sur le papier je pense qu’on peut bâtir un bon personnage avec un Ensorceleur. Par contre, je trouve que l’Ensorceleur est souvent un choix de joueurs minimaxeurs, souhaitant la magie libre sans les contraintes intellectuelles du magicien qui nécessitent de se creuser un peu la tête en termes d’anticipation, de stratégie et de préparation. C’est souvent un choix de fainéants. J’aime moins aussi le Sorcier un peu pour les mêmes raisons, mais le fluff du Sorcier quant à son protecteur offre d’importantes opportunités d’encapsulation dans l’intrigue et ça contrebalance.
Autres contraintes:
- Caractéristiques déterminées uniquement par répartition (total de point à définir) même si pour des prégénérés (option 1) je m’autoriserai toute liberté.
- Archétypes provenant uniquement du livre de base ou du Xanathar. Tasha’s Cauldron à débattre.
- Dé de vie à chaque niveau : au choix tirage ou médian.
- Dons autorisés par défaut
- Equipement au niveau 1 à définir.
- Noms : pas de nom faisant écho à un héros pop ou geek culture – encore moins manga. L’idéal est que vous utilisiez un générateur en ligne si vous n'avez pas d'inspiration; mes préférences vont à fantasynamegenerators.com. Sinon je peux aussi vous proposer une liste au choix. Les noms doivent aussi être cohérents avec les origines que vous choisissez.
- Progression : à définir mais très certainement Milestone.
Les Outils.
Les fiches et les règles : dndbeyond permet une gestion fine des fiches de personnage et de la progression. Les fiches seront intégralement hébergées sur cette plateforme. Cela présuppose que les joueurs ne soient pas réfractaires - dans l’idéal même assez à l’aise - en anglais. Un exemple de fiche sur DnDBeyond
Les éditeurs tiers : le seul supplément que j’envisage d’utiliser en plus du Core de D&D est le Ultimate Kingdom de Legendary Games, qui propose des règles de gestion de Royaume « à la Kingmaker » pour D&D 5e. Seules les règles de gestion de royaume, d’armées et de bataille m’intéressent, en aucun cas les dons ou les classes proposées.
Les cartes : Je peux les faire moi-même à l’aide de Photoshop ou de Wonderdraft. J’aime beaucoup le travail de Daniel Hasenbos ou de Maxime Plasse. Je réutiliserai leur création dès que je le pourrais.
Les battlemaps : Le maître en la matière est pour moi Gabriel Pickard. Je possède une bonne partie de ce qu’il offre sur Roll20. J’utiliserais son matériel autant que possible. Un exemple :
Les illustrations de PJs et de PNJs : Je souhaite une cohérence graphique pour tous les PJs, aussi je m’occuperai moi-même de leur illustration – potentiellement en fonction de votre description - en utilisant Daz3d. Pour les PNJs mes sources seront plus éclectiques. Pour les monstres et opposants classiques j’utilise la plupart du temps des illustrations officielles de cette édition ou des précédentes. Exemple d'illustration de PJ que je fais avec daz3d:
L’ambiance : J’aime beaucoup jouer en musique. Je vous proposerai un lien YouTube en fonction de chaque scène. Mes préférences : Antti Martikainen, Brunuhville, Peter Crowley, Adrian Von Ziegler. Pour les scènes plus épiques : Two Steps From Hell, Immediate Music, Gothic Storm, Audiomachine. Je peux aussi utiliser les BOs de films ou de jeux mais j’évite en général les musiques les plus reconnaissables.
A part la musique, le PBF permet de narrativiser vraiment le jeu. J’essaierai de peaufiner mes descriptions de telle sorte que ce soit le plus immersif pour vous.
Les Joueurs.
Vous êtes majeur, vous avez envie de vous investir et vous êtes motivé pour à priori du long terme. L’anglais des fiches n’est pas une barrière pour vous. Vous n’avez aucun problème avec les choix thématiques abordés plus hauts. Vous avez une affinité, un attachement ou au moins une familiarité pour les univers médiéval fantastique de la pop culture. Dans Jeu de Rôle, vous avez bien compris qu’il y a le mot « Jeu », mais vous n’oubliez jamais qu’il y a aussi le mot « Rôle ». Débutants tout comme vieux briscards, soyez les bienvenus. Si vous avez déjà roulé votre bosse néanmoins, un bilan des scénarios lus/joués me permettra de choisir où puiser mon inspiration. Si vous êtes débutant, vous êtes prêt à vous investir un peu dans les règles – ne serait-ce que pour comprendre les capacités de votre personnage. Ça fait un peu réac. de dire ça mais, vous avez un niveau d’orthographe et de grammaire à peu près correct. Je suis désolé, mais à partir d’une trop grande quantité de fautes, j’ai vraiment très « mal aux yeux ». Je ne suis pas un ayatollah non plus là-dessus mais il y a une limite. Priorité à la parité d’abord, puis au premier arrivé, mais la plume compte aussi si je dois faire un choix. Un joueur joue un personnage masculin, une joueuse joue un personnage féminin.
Je n’ai pas fixé une limite forte pour le moment mais je pense limiter les inscriptions à 4-5 joueurs maximum. Ça me semble déjà être beaucoup. Je reste ouvert à la discussion néanmoins sur ce sujet.
Je vous suggère de m’exposer quelles sont vos limites quant à votre personnage. La personnalisation est parfois forte entre un joueur et son personnage et il peut être pénible à certain d’aborder ou de jouer certaines situations. Jusqu’où je peux aller si besoin ? Autant le définir tout de suite et c’est à vous de me le dire.
Le Dirigisme.
Je construis une trame générale évidemment mais je ne m’interdis pas de dévier et de toute façon je préfère les sandbox. Je souhaite avant tout mener le scénario qui vous conviendra. Le timing lent du pbf me permet d’ajuster en fonction des goûts et des choix de tous en jeu.
Quant aux règles, je ne veux pas tricher. C’est d’autant plus difficile sur le forum donc… Les dés parleront toujours. C’est aussi ce qui fait l’enjeu du Jeu de Rôle. Ce qui veut dire que la mort de votre personnage est possible, et même probable sans un peu de prudence, de lucidité et de discernement de votre part. Et il n’y a pas de sauvegarde comme dans un jeu vidéo. Tous les combats ne seront pas à mener. Parfois, l’opposition sera telle que le bon choix sera l’évitement ou la fuite. Je me montrerai quand même un peu plus conciliant avec les débutants au moins les premiers temps, mais à vous d’avoir ce discernement.
La Cohérence du Groupe.
Le PBF permet d’organiser facilement de courts spins offs si le groupe se sépare et de mener des histoires parallèles, mais vos personnages doivent coopérer ensemble. Donc ils doivent se trouver une bonne raison de constituer un groupe. Après, il y a la façon douce (certains diraient ennuyeuse) avec des liens affectifs, des intérêts communs, etc… Et il y a la façon plus funky – vos personnages ne peuvent pas se sentir mais quelquechose les contraints à travailler ensemble. A réserver aux joueurs expérimentés car la contrainte ne doit surtout pas être fragile. Un ressenti ou une animosité légère entre personnages est souvent l’occasion de beaux moments d’échange. A réserver encore une fois pour des joueurs expérimentés qui ont compris que ce n’est en aucun cas leur égo personnel qui est en jeu dans ce genre de joute verbale fictive.
Pour assurer la cohérence du groupe, le mieux est que le processus de création se fasse en partie en commun, pour créer une trame relationnelle initiale du type suivant :
L’animosité la plus classique en univers médiéval fantastique est celle qui oppose les nains et les elfes. C’est du déjà vu mais ça marche toujours. Après il y a d’autres possibilités : des religions opposées, l’un et l’autre se sont affrontés en face à face sur un champ de bataille, lors d’un duel, ou d’une joute verbale à la cour d’un noble… l’un a arnaqué/trahi/volé l’autre dans le passé. Plus mature : l’un a volé le compagnon/la compagne de l’autre, a engrossé la sœur/fille/cousine de l’autre et s’est barré sans demander son reste, voire l’un et l’autre étaient amants auparavant et ça s’est très mal terminé… La limite réside en notre imagination et les thèmes avec lesquels nous sommes à l’aise.
Les conventions de jeu.
La narration du meneur et des joueurs se fait à la troisième personne et au passé. Les dialogues et les pensées sont à la première personne.
Qui suis-je
Je fais du JdR depuis les ¾ de ma vie, ce qui ne me rajeunit pas. J’ai commencé en primaire avec les Livres Dont Vous Êtes Le Héros puis avec l’Œil Noir et la passion ne m’a jamais abandonnée depuis. Même pendant le « creux » des années 2000 et la claque Magic, j’ai continué de jouer. Je maîtrise la plupart de mes parties. J’aime aussi prendre la place de joueur à l’occasion, mais le syndrome du MJ colle à la peau et on n’est jamais mieux servi que par soi-même. Et le secret bien gardé des MJs est que derrière ce qu’on vous raconte sur le boulot que suppose la place du MJ, celle-ci est en fait très confortable, planqué derrière l’écran. J’arpente autant que possible les salons mais je n’ai fait qu’une convention en tant que joueur il y a quelques années – Les Joutes du Téméraire à Nancy, et j’ai remporté la 1ère place. Ma ludothèque actuelle : D&D 5e/H&D, PF2, Warhammer 4e, L5R, Vampire 5, Star Wars FFG, Cthulhu 7 Edge, Within, S7M. Je ne suis pas collectionneur alors je revends les jeux qui ne me plaisent plus ou si je sais que je n’aurais pas/plus le temps d’y jouer. J’ai abandonné l’idée de « faire mon propre jeu » il y a quelques années parce que je me suis rendu compte que cela ne sert absolument à rien. L’avènement de l’OGL m’a toutefois précipité dans cette conclusion. Si je trouve le temps un jour et que je me discipline un peu, il n’est pas impossible que je propose du contenu (scénario/campagne je pense) un de ces quatre sur une plateforme du style dmsguild. Aujourd’hui la vie fait que je me limite à une table virtuelle/IRL mais j’ai un peu de temps par ailleurs pour du jeu asynchrone. C’est la raison de ma présence ici.
Participants
keket44 | |
Poppu | |
Chinot OTAKA | |
BlackPaw | |
Galered | |